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Avec son « belle allure et son timbre crémeux irrésistible », la soprano Danielle Pastin est en demande à l'échelle nationale et internationale. Son vaste répertoire englobe le classique et le contemporain et elle est aussi à l'aise à l'opéra qu'au concert.
Au cours des dernières saisons, Mme Pastin a joué aux opéras Metropolitan, Dallas, Pittsburgh, Santa Fe, Austin, Nashville, Palm Beach, Arizona, Central City et Manitoba dans des rôles tels que Mimi, Liu et Butterfly de Puccini, Donna Anna, Donna Elvira, Fiordiligi et la comtesse de Mozart, Desdemona et Violetta de Verdi, Micaela dans Carmen, Nedda dans Pagliacci et Macha dans La reine de pique.
Sur le plan international, elle a repris bon nombre de ces rôles avec le Festival de Savonlinna en Finlande, le Festival de Macao-Pékin en Chine et au Royal Albert Hall de Londres. De plus, elle a créé des rôles dans de nouvelles œuvres, dont celle de Robert Patterson Trois voies, libre arbitre, de Henry Mollicone La fille de Gabriel, et a été présenté dans Ricky Ian Gordon's Les Raisins de la colère.
Sur la plate-forme de concert, Mme Pastin a été la soliste de Verdi Requiem, Barbier Knoxville: été 1915, de Tchaïkovski Roméo et Juliette, de Bruckner Vous deum et par Requiem de Mozart avec le Pittsburgh Symphony, le Pittsburgh Concert Society, le Reno Chamber Orchestra, le Glacier Symphony, la Society of the Four Arts, l'Erie Philharmonic et DCINY à Barcelone.
Lauréate prolifique, Mme Pastin a reçu le premier prix de la Sullivan Foundation et du Opera Index Vocal Competition, le deuxième prix du Gerda Lissner Competition, le Judith Raskin Memorial Award (Santa Fe Opera) et le Fine Arts Fellowship (Central City Opera). Elle est une ancienne élève de l'Université du Maryland.
juillet 2023
"...Micaela de la soprano Danielle Pastin, la chérie du soldat, a livré un superbe air de troisième acte, plein de désir féroce et d'adoration, un beau rappel de la raison pour laquelle elle reste une favorite de la scène de Pittsburgh..." – Gazette du poste de Pittsburgh (2022)
« La soprano Danielle Pastin a fait un superbe travail en capturant les émotions contradictoires de Donna Elvira… » – Revue classique du sud de la Floride (2019)
"Soprano Danielle Pastin se démarquait comme une Donna Elvira glamour, avec une voix éclatante et une présence imposante. Pastin a donné vie à une femme forte en quête de justice, avertissant les autres du passé abusif du Don, mais discréditée et rejetée comme "folle" par l'homme même dont elle cherche à venger la violence et les mensonges. Au cours du célèbre quatuor, Don Giovanni l'a plaquée contre le mur tandis que Donna Anna et Don Ottavio, apparemment inconscients de l'assaut qui se déroulait devant eux, se demandaient à voix haute : « Qui devons-nous croire ? ” – Schmopera.com (2019)
« Danielle Pastin, avec sa couleur vocale crémeuse et pulpeuse, est née pour chanter la Comtesse. Son solo d'ouverture était une leçon de chant legato, tandis que sa livraison du grand "Dove sono" combinait prouesses techniques avec une communication consommée du dilemme émotionnel de cette femme maltraitée. ” – Le Pittsburgh Post Gazette (2018)
« La soprano Danielle Pastin (Leila) était à couper le souffle : sa sensibilité musicale était mûre et concentrée ; sa maîtrise de l'inflexion vocale un tour de force de la gymnastique colorature. Chaque aria présentait un bijou délicatement travaillé, exécuté avec un goût qui n'a jamais permis à sa virtuosité de surpasser sa caractérisation dramatique. – La Lame (2017)
« Danielle Pastin (Liu) a montré une soprano palpitante et lyrique, solide comme le roc dans toute sa tessiture et dynamiquement dynamique, livrant les moments les plus poignants de l'œuvre avec sincérité et finesse théâtrale. – La Gazette de Virginie (2017)
"sa voix était d'une souplesse étonnante avec une pureté qui reflétait la naïveté de son personnage" – Arts de Nashville
« tonalités larges opulentes et présence chaleureuse » – Nouvelles quotidiennes de Palm Beach (2015)
"timbre somptueux et uniforme"– Nouvelles de l'Opéra (2015)
"des sons d'une beauté ravissante avec des trilles superbement exécutés" – La Capitale (2012)
"une beauté et un ton lyriques époustouflants" – La Post-Norme (2011)
"timbre lustré et succulent" – Nouvelles de l'Opéra (2010)
"timbre fondant et séduisant" – Nouvelles de l'Opéra (2010)
"elle interprète sa narration avec une oreille pour la couleur" – Nouvelles de l'Opéra (2010)
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